Je suis le fils prodigue de la parabole qui vit « en terre lointaine » chaque fois que je cherche la consolation et l’amour inconditionnel là où ils ne peuvent être trouvés. Ma maison? c’est fondamentalement le centre de mon être, là où je peux entendre la voix qui me dit : « Tu es mon Bien-Aimé, celui qui a ma faveur ».
Je te remercie, Seigneur, d’accueillir avec joie cette autre année, que l’on appelle encore et toujours la nouvelle parce qu’elle apportera ses brassées de peines et ses brassées de joies toujours imprévues pour la gloire de vivre et de survivre. C’est toi, Seigneur que je reçois dès aujourd’hui en accueillant la nouvelle année comme un don de Dieu, dans l’espérance des jours meilleurs.